mardi 9 février 2010
lundi 21 décembre 2009
Le Marketing de Réseau
La vente multiniveau (ou, selon l'organisme qui l'emploie, marketing relationnel, marketing à paliers multiples, vente en réseau par cooptation, marketing de réseau, etc.), en anglais Multi Level Marketing, désigne une structure du réseau de vente dans laquelle les revendeurs peuvent parrainer de nouveaux vendeurs, et être alors en partie rémunérés par une commission sur les ventes des recrues.
La vente multiniveau proprement dite a été inventée aux USA en 1940.
Les Entreprises les plus fiables sont adhérentes à la Fédération de la Vente Directe.
Voir ce qu'en dit Mr DAILEY
Autrefois, une famille pouvait subvenir à ses besoins avec un seul revenu.
Aujourd’hui, il en faut au moins deux sinon plus, et les parents sont souvent contraints d’avoir recours à une aide extérieure pour élever leurs enfants.
Autrefois, un individu pouvait travailler pour la même société pendant 40 ans et prendre sa retraite en touchant une pension lui permettant de vivre confortablement jusqu’à la fin de ses jours. Mais, nous vivons de plus en plus longtemps et le coût de la vie augmente si rapidement que la majorité des personnes du troisième âge vivent sous le seuil de la pauvreté ou doivent continuer à travailler pour s’assurer ne serait-ce qu’un style de vie modeste.
L’avenir s’annonce sombre pour la plupart des gens, mais il sera radieux pour ceux qui sauront réagir à temps et apporter dès maintenant des changements à leur vie. Le statut d’employé n’est plus une garantie.
Si vous voulez connaître un avenir radieux, vous devez posséder et gérer votre propre entreprise.
La création d’une entreprise vous permettra de toucher un revenu supplémentaire et de bénéficier d’avantages fiscaux qui mettront de l’argent dans vos poches tous les ans.
Intéressant, n’est-ce pas ?
Malheureusement, 85 % des nouvelles entreprises font naufrage.
Voulez-vous faire partie des 15 % qui réussissent ?...
Alors choisissez La bonne Entreprise de Vente directe ! Voir aussi
Vous pouvez nous contacter par mail : sas.lespleiades@gmail.com
Ou par Téléphone : 02/72/95/13/58 ou 06/28/09/14/94
Vidéo Paul DEWANDRE (Marketing de réseau)
jeudi 17 décembre 2009
Prendre un Instant pour soi régulièrement
Les aléas et traumatismes de la vie s’inscrivent dans le corps sous forme de tensions, entraînant souffrances physiques et morales. | ||
S’y ajoutent souvent des gestes répétitifs ou des postures statiques, notamment devant l’ordinateur, qui créent des tensions physiques. Troubles les plus couramment associés au stress : Déprime Troubles du sommeil et fatigue Mal de dos et douleurs articulaires Maux de tête Ulcères Maladies cardio-vasculaires... Conséquences du stress pour l’entreprise : Moindre efficacité dans le travail Tensions entre les personnes Absentéisme… Nos séances : Soulagent les affections causées par le stress Délassent et apaisent Re-dynamisent Favorisent la concentration Détendent et procurent une sensation de bien-être Permettent de retrouver une plus grande souplesse musculaire Améliorent la qualité du sommeil |
mardi 8 décembre 2009
"Le plus important est d'avoir un rêve, une envie"
Claudie Haigneré, ancienne ministre de la recherche et astronaute, partage ses plus belles expériences et nous livre son regard sur la réussite...
Racontez nous votre parcours ?
Je suis médecin en rhumatologie, docteur ès Neurosciences. J'ai exercé durant 8 ans au service rhumatologie de l'Hôpital Cochin. Je suis ensuite entrée au CNRS (centre national de la recherche scientifique) en tant que chercheur et c'est dans ce cadre que j'ai été sélectionnée comme candidate astronaute par le CNES (centre national des études spatiales) en 1985. A cette époque, ils recherchaient un profil de pilote et de scientifique pour mener à bien leur programme. Il y a eu 1000 dossiers remplis. Et 7 sélectionnés, dont moi. Je suis partie pour mon premier entrainement à la Cité des Etoiles à Moscou en 1992, où j'étais l'astronaute doublure de celui qui allait devenir mon mari, Jean-Pierre Haigneré. Entre-temps, j'ai travaillé au CNES dans le domaine de la science du vivant. Ma première mission a eu lieu en 1996. C'était à bord de la station MIR pour un programme de recherche. Pour ma deuxième mission en 2001, j'ai suivi un nouvel entraînement physique, physiologique et scientifique pour être ingénieur à bord de l'ISS. (station spatiale internationale)
Une fois vos missions achevées, qu'avez-vous fait ?
A la fin de mes missions, j'ai commencé mon rôle de relation publique et de transmission d'expériences dans différents débats et colloques. Jusqu'en 2002 où j'ai été appelée à entrer au gouvernement en tant que ministre de la recherche puis comme secrétaire chargée des questions européennes. Aujourd'hui, je suis conseillère à l'agence spatiale européenne. Je m'occupe principalement des questions européennes. J'œuvre aussi pour la promotion de la culture scientifique. Je suis membre du conseil d'administration de la Cité des Sciences et je suis la Marraine de la Cité de l'Espace. Je pense aussi rejoindre la fondation "Women Science" mise en place par L'Oréal et L'Unesco.
Et votre vie de famille dans tout ça ?
J'ai un mari astronaute avec qui j'ai la chance d'avoir une passion partagée. Nous avons pu être ensemble lors de nos entraînements à Moscou. Nous avons eu une petite fille, Carla, en 98. Elle a passé son enfance à Moscou avec nous à la Cité des Etoiles. Malgré la difficulté de notre travail et l'éloignement avec notre famille, nous avons toujours été soutenus et mis dans de bonnes conditions. Nous étions tout de même contents de revenir en France.
Quelle est l'expérience qui vous a le plus marquée ?
"Les femmes ont besoin de contacts humains dans leur vie professionnelle"
Mes trois ans en tant que Ministre. Cela a été plus difficile car ma fille était encore petite. On a franchi ce cap car j'ai un mari formidable qui s'est bien occupé d'elle. Cette expérience politique m'a beaucoup apportée. C'est formidable d'avoir à la fois les idées et les impulsions. Même s'il est vrai qu'à l'époque, la recherche n'était pas perçue comme une priorité et que les budgets n'étaient pas assez importants. Mais ce que j'ai apprécié, c'est la diplomatie et la négociation d'objectifs nationaux au niveau européen. Il faut négocier, faire avancer les projets… Et je pense que, sur ce point, les femmes sont meilleures. Plus que des compromis, nous parvenons à obtenir des consensus. Mes deux missions spatiales sont aussi des moments très forts. C'est un monde à découvrir. On vit à côté de héros et de mythes. Regarder la Terre à travers le hublot, être en apesanteur… c'est un peu de la science-fiction. Même si, à un moment donné, cela devient opérationnel, on reste toujours un peu dans un rêve.
Vous avez côtoyé deux univers très masculins (la science et la politique), qu'en retenez-vous en tant que femme ?
En ce qui concerne le métier d'astronaute, le fait d'être une femme n'est pas un handicap. Ce qui compte avant tout, c'est la notion d'équipe. J'ai donc toujours eu l'impression d'être un élément du succès. L'essentiel, c'est la compétence. Pour une femme, il faut avoir le bon bagage ainsi qu'une stratégie. Jamais on ne donnera à une femme un poste où elle n'a pas montré ses compétences. Elle ne doit pas hésiter à pousser les portes. Et je constate que beaucoup de jeunes filles n'osent pas, peut-être à cause de certaines représentations. Pour ce qui est du domaine de la science, je crois que les femmes ont une idée faussée des métiers de la recherche, celle du scientifique seul dans son laboratoire en blouse blanche. Mais être chercheur, c'est travailler en équipe. Je dis cela parce que je sais que les femmes ont besoin de contacts humains dans leur vie professionnelle.
Quelles étapes avez-vous dû franchir pour accéder à toutes ces responsabilités ?
J'ai eu beaucoup de chance. Il en faut un peu pour arriver major d'une promotion de 600 élèves. Mais j'ai toujours été une bosseuse. J'ai fait preuve d'ouverture d'esprit et j'ai rencontré des gens qui m'ont aidée à avancer. Et puis, il y a aussi une part de choix. J'ai accepté de faire 10 années d'étude et lors de la réalisation de ma thèse, j'ai bien ciblé mon thème sur le milieu de l'espace.
Claudie Haigneré lors de sa mission en 2001 © ESA/CNES-Star City ESA
Comment vous engagez-vous auprès des femmes ?
Je constate qu'il y a un gros déficit de parité en science. Sur les 450 astronautes à travers le monde, seulement 40 sont des femmes. C'est pour cela que j'ai mis en place le Prix Irène Joliot-Curie qui récompense les femmes scientifiques. J'agis aussi pour aider les jeunes à s'engager et leur permettre de concilier leur vie privée avec une certaine reconnaissance professionnelle. En ce qui concerne ma fille, je lui apprends tout simplement la curiosité !
Durant toute votre carrière, avez-vous réussi à vous accordez du temps pour vous ?
Vivre "pour moi" ne m'intéresse pas. Le shopping, je n'ai jamais été douée pour ça et puis, pour le coiffeur, c'est parfois mon mari qui me dit d'y aller. Le sport, je n'en fais pas non plus. Avec le travail, les amis, la famille… il ne me reste plus beaucoup de temps pour moi. Les seuls moments que j'essaye de conserver, ce sont mes moments de lecture.
Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui rêvent de devenir astronaute ?
Les qualités qui s'imposent sont bien évidemment les compétences techniques, l'ouverture d'esprit et l'envie de partir ailleurs. La solidité psychologique et la détermination sont aussi des facteurs importants. Mais je dirais qu'au sein d'un équipage, une femme amène un vrai plus. Elle apaise, donne de l'humanité, les hommes font plus attention dans leur façon de parler…
Que pensez-vous de la parité au sein des entreprises et en politique ?
Je constate que les sociétés se mobilisent. Selon moi, pour développer la parité au sein des entreprises, il y a trois étapes à franchir. Tout d'abord, les professionnels doivent se rendre dans les établissements scolaires pour présenter leur métier et faciliter l'orientation et l'engagement des jeunes. Ensuite, les entreprises doivent proposer plus de flexibilité ainsi que des crèches pour les enfants de leurs employés. Et pour finir, les femmes doivent être mieux reconnues. Ces dernières sont encore trop souvent freinées par ce que l'on appelle le "plafond de verre". Et pourtant, comment ne pas constater l'enrichissement qu'apporte la diversité. C'est grâce à la diversité des approches que l'on parvient à trouver plus facilement des solutions. En ce qui concerne la politique, la France est très mal placée au niveau européen en terme de parité et cela n'est pas normal. Aujourd'hui, la limite vient du manque de reconnaissance pour les femmes et du fait que les étapes à franchir sont difficiles. Je comprends la tentation des quotas, mais l'important est de tout faire ensemble. Il faut que les femmes aient envie d'accéder à ce genre de postes. Et pour cela, un petit coup de pouce est nécessaire. Je dirais aussi que les hommes doivent évoluer, dans leur couple notamment.
Quel conseil donneriez-vous aux femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur travail ?
Le plus important, et c'est souvent ce que je dis aux jeunes, est d'avoir un rêve, une envie.
lundi 7 décembre 2009
Vous avez un potentiel de réussite absolument incroyable.
Les seules limites que vous avez dans la vie sont celles que vous vous imposez. Combien de personnes toutefois, belles, intelligentes et talentueuses, croupissent dans des emplois minables et vivent en deçà de leur potentiel? Malheureusement, trop de personnes aiment se donner toutes sortes d’excuses pour expliquer leurs insuccès. Pourtant, tout est possible pour celui ou celle qui ose prendre des risques.
Tout comme moi, vous avez probablement vu et entendu le vidéo de Susan Boyle sur YouTube . Tout comme moi, cette femme vous a probablement littéralement jeté par terre. Voici toutefois quelques informations sur son histoire que vous ignorez probablement.
Plus jeune d'une famille de neuf enfants, Susan Boyle a grandie dans un village de 4 700 habitants en Écosse, dans un secteur particulièrement sinistré par le chômage et la criminalité. Enfant, elle a été humiliée verbalement par les autres élèves qui se moquaient d'elle. Elle a également été maltraitée physiquement.
Adulte, elle a du mal à trouver un travail, mais fréquente assidûment les karaokés locaux, et chante dans les choeurs de la paroisse.
À 25 ans, elle a rencontré John, fonctionnaire, qui a été son seul amour. John l’a demandée en mariage, puis quelques semaines plus tard, a disparu sans aucune explication ce qui lui a brisé le cœur.
En 1995, alors qu'elle a 33 ans, elle fait sa première apparition à la télévision sur ITV, lors d'une émission de télé-réalité consacrée à la découverte de nouveaux talents, émission présentée par Michael Barrymore. Dès que Susan commence à chanter, le présentateur essaie de la déstabiliser en gesticulant dans tous les sens de façon à l'humilier face aux auditeurs. Malgré sa voix extraordinaire, son talent restera inconnu du grand public et ceci à cause du comportement ridicule du présentateur de l'époque.
En 2000, à la mort de son père, elle décide de rester avec sa mère Bridget, pour la soigner. Sa mère l'encourage à chanter et à se produire devant un plus large public que la paroisse où Susan chante. Mais sa mère meurt à son tour, en 2007.
Âgée de 47 ans, au chômage, célibataire sans enfant, vivant en location seule avec son chat Pebbles, dans la petite maison familiale qu'habitaient ses parents et qu'elle n'a jamais quitté, Susan a le courage de se présenter à l'émission « Britain's Got Talent », 3e saison, une émission télévisée britannique, à la recherche de nouveaux talents. Malgré que la majorité des autres concurrents soient deux fois plus jeunes qu’elle-même, elle fait une impression monstre, en interprétant le 11 avril 2009 la chanson I Dreamed a Dream de la comédie musicale Les Misérables.
Les présentateurs, les jurés et les spectateurs étaient d'abord très cyniques et moqueurs face à cette femme au physique très ingrat avec ses sourcils épais et ses cheveux en bataille. Mais dès le début de sa chanson, ils ont été littéralement subjugués par la qualité de son interprétation et ils l’ont saluée par une ovation et un tonnerre d'applaudissements. Le jury était au bord des larmes tant l'émotion que Susan dégageait était forte.
Sa performance a été visionnée par 300 millions de personnes sur YouTube jusqu’à présent, ce qui lui a valu de passer dans plusieurs émissions d'informations américaines, où elle est interviewée par des présentateurs vedettes des chaînes nationales de télévision tels que Larry King, Jay Leno et Oprah Winfrey.
Le 30 mai 2009, pour la finale de Britain’s got talent, elle arrive 2e derrière le groupe Diversity. La tension due à cette soudaine vie de célébrité, des commentaires moqueurs de certains journaux britanniques et le stress causé par ces épreuves lui sont difficiles à supporter et le lendemain de sa défaite en finale, Susan a été transportée d’urgence dans une clinique psychiatrique de Londres. Cinq jours plus tard, Susan s’est remise de son énorme coup de fatigue et elle est sortie de l'hôpital.
Le 5 août 2009, des photos révèlent au public une femme tout à la fois séduisante et glamour.
Le 12 septembre, Susan enregistre son premier album à Los Angeles en Californie.
Le 23 novembre 2009, pour l’Action de grâces, Susan Boyle sort son premier album I Dreamed a Dream et le lendemain le 24 novembre 2009, elle sort une première biographie racontant sa vie jusqu'à sa soudaine célébrité.
La semaine dernière, le 30 novembre 2009, on apprenait que les ventes de son premier album distribué par Sony Music venaient de battre un record de vente de tous les temps avec 410 000 exemplaires écoulés en une semaine, en Grande-Bretagne seulement!
L’histoire de Susan Boyle illustre bien à quel point le succès vient à celui ou celle qui ose prendre des risques.
Et vous, c’est quoi votre excuse pour ne pas réussir à la hauteur de votre potentiel?